Le saviez-vous ? Simango est une entreprise rennaise ! C’est donc avec grand plaisir que nous accompagnons les instituts de formations de notre belle région.
Depuis plus de deux ans, l’Institut Guillaume Régnier utilise Simango pour former les futurs infirmiers et aides-soignants.
Découvrez le témoignage de Pascale et Élodie sur la mise en place de Simango.👇
Bonjour, pourriez-vous vous présenter ?
Pascale Martin : Bonjour, je suis Pascale Martin, ingénieure pédagogique et formatrice à l’Institut de Formation en Soins Infirmiers (IFSI) Guillaume Régnier depuis deux ans.
Élodie Brière : Et moi, c’est Élodie Brière, ingénieure pédagogique également, et ici depuis deux ans aussi.
Pouvez-vous nous présenter l’Institut ?
Élodie Brière : Alors, notre institut accueille environ 300 étudiants infirmiers et une soixantaine d’élèves aides-soignants.
Pascale Martin : Alors on est un institut de formation qui accueille environ 300 étudiants infirmiers et environ une soixantaine d’élèves aides-soignants. C’est un institut qui est très axé sur la ludopédagogie et sur l’innovation, qui laisse carte blanche pour être innovant dans la formation et dans l’apprentissage des étudiants.
Comment avez-vous connu Simango ?
Pascale Martin : On a pris contact en 2022, mais on a vraiment commencé en janvier 2023 avec Simango. Comme on est un gros institut avec des promotions importantes, on avait des difficultés liées aux salles, au matériel et aux coûts.
Comment Simango vous aide-t-il à surmonter ces défis ?
Pascale Martin : Simango nous permet finalement de pouvoir faire des apprentissages à distance. Du coup, les étudiants peuvent répéter plusieurs fois le scénario pour permettre d’éviter qu’on soit obligé de commander du matériel. Une fois, on le fait parce qu’il faut qu’ils pratiquent en vrai. Et puis après ils s’entraînent de nouveau sur Simango pour éviter d’avoir trop de coûts.
Élodie Brière : C’est vrai que le plus important, entre guillemets, dans les métiers dans lesquels on forme, en tous les cas, c’est la pratique. Et évidemment, plus on s’entraîne et plus on ancre nos apprentissages. Plus on en fait, mieux c’est. Et plus on propose de situations pédagogiques différentes, plus on permet un potentiel apprentissage pour nos apprenants.
Comment avez-vous intégré Simango auprès des formateurs ?
Pascale Martin : Alors on avait récupéré tous les livrets des parcours et on les a proposés à nos formateurs. On avait fait une petite démonstration. Les formateurs après ont choisi le parcours. On les a accompagnés notamment sur la transfusion sanguine avec la possibilité de personnaliser le scénario.
Elodie Brière : Au début, avec les formatrices, ce qu’on voulait c’était de faire de la transversalité et notamment avant les départs en stage, avoir des moments vraiment ponctuels d’apprentissage sur des modules précis comme l’hygiène. En traitance et cetera. Donc au début, on est vraiment arrivés avec ce catalogue de formation. On leur a proposé des formations qui étaient disponibles et on était un petit peu sur des choses plus ponctuelles.
Et pour les étudiants ?
Pascale Martin : Alors pour la promotion d’infirmière, on les met aux 3 années. On fait beaucoup de choses en première année avant le départ en stage. Et puis majoritairement calcul de doses et transfusion sanguine pour les étudiants en 2e année.
Élodie Brière : Mais c’est vrai que c’est étalé sur toute l’année, en tous les cas pour les aides-soignants aussi parce qu’il y a des modules de formation qui sont souvent adaptés aux modules de leur référentiel de formation. Et donc ça, ça nous permet d’avoir des temps Simango sur des éléments très concrets comme par exemple la douleur ou la bientraitance mais aussi sur des modules transversaux où là vraiment on peut remobiliser plusieurs modules, plusieurs temps aussi d’apprentissage finalement. Et c’est vrai que là-dessus c’est pertinent pour toute l’année finalement, peu importe le niveau de l’apprenant en fait.
Intégrez-vous Simango pour des évaluations ?
Pascale Martin : Pas du tout. Donc on est plus sur de la remobilisation de connaissances, de la répétition pour que ça ancre effectivement les connaissances. Et aussi plus que sur le test de positionnement aussi pour voir où ils en sont, mais pas dans l’évaluation.
Quels sont les scénarios préférés ?
Pascale Martin : Nous les calculs de doses sont régulièrement demandés, le parcours complet avec la révision des calculs qui sont arrivés il y a pas longtemps, mais tout ce qui est transfusion sanguine, tout ce qui est gestion des risques aussi dans les chambres des erreurs. C’est pas mal apprécié effectivement l’hygiène. Moi j’ai travaillé avec un petit groupe, les différents modules d’hygiène et là je les ai remis en place pour d’autres pour la promo qui vient d’arriver les premières années, y a y a quand même beaucoup de parcours et le choix est quand même vaste.
Élodie Brière : C’est vrai que ce qui marche aussi très bien avec les aides-soignants, c’est les chambres des erreurs, qui ont aussi cet aspect ludique qui est très intéressant et cet esprit aussi de compétition qui peut se créer dans les promotions, qui est assez intéressant aussi dans ces apprentissages. Euh parce que en fait, il y a une émulation qui se crée dans la promotion où ils ont envie de trouver l’erreur, de d’expliquer aussi à leurs pairs. Et ça crée vraiment une ambiance assez particulière dans ces moments-là et c’est toujours sympa à voir.
Avez-vous vu un impact sur la pratique professionnelle ?
Pascale Martin : Alors pour les infirmiers, pour l’instant c’est un petit peu tôt. Nous ça fait 2 ans qu’on est là, 2 ans qu’on est en partenariat avec Simango et on n’a pas encore de promos qui sont sorties. Par contre ce qu’on voit c’est sur l’envie de faire et on se posait des questions. Tiens j’ai vu, je pense à la transfusion, j’ai vu ce scénario tiens bah le formateur il m’a pas dit comme ça et donc ça enchaîne du coup des discussions avec le formateur pour essayer de comprendre les différences entre ce qui a été dit et ce qu’ils ont vu. Et donc forcément bah quand on pose des questions on apprend.
C’est plus dans cet échange-là que sur la posture. Après en tant que professionnel qu’on va voir la différence parce que c’est au niveau infirmier et au niveau aide-soignant c’est absolument pas une obligation. Ils le font, c’est un outil mis à disposition comme tout autre outil qu’on pourrait leur mettre à disposition. Ils s’en servent tant mieux, ils s’en servent pas, on va pas être derrière eux pour le faire. Donc parfois c’est par le biais des pairs. Qu’ils s’aperçoivent que ça peut être intéressant, qu’il y a quelque chose à y gagner et qu’ils vont aller le faire. Donc voilà, c’est plutôt intéressant pour ça. Dans les apprentissages plus que dans la posture professionnelle pour l’instant.
Simango en quelques mots ?
Pédagogique, ludique, apprentissage, innovation.
Recommanderiez-vous Simango ?
Pascale Martin : Oui, quand on a une question, quand on a une demande par rapport à un parcours particulier, on a toujours une réponse rapide. Quand on est formateur ou ingénieur pédagogique et qu’on veut mettre en place des choses pour les étudiants, on aime bien que ça marche. On a envie ici en tout cas à l’IFPS de Guillaume Régnier d’être dans la créativité et dans l’innovation. Et quand on se donne les moyens. Donc quand on a Simango qui nous répond rapidement, qui est à l’écoute de nos propositions, bah c’est toujours de bonnes choses au niveau des formateurs.
Et de l’interaction qu’on peut avoir avec les étudiants sur le scénario. Vous l’avez fait, vous l’avez pas fait ? Bah tiens alors vous l’avez pas fait, bah c’est pas grave, mais ceux qui l’ont fait, qu’est-ce que vous avez remarqué ? Quelles ont été vos difficultés ? Et comme je vous disais, des fois ça incite les autres à aller le faire. Moi je dirais oui, on recommande Simango, en tout cas nous dans l’utilisation qu’on en fait.
Un grand merci pour leur témoignage. Envie de découvrir notre offre spéciale institut de formation ? Contactez nous !